Séminaire intitulé : « Le Changement climatique entre les déceptions de Copenhague et les aspirations du Mexique : Lecture critique. »

Samedi 20 mars 2010

M. Georges Stephan a dirigé cette séance spéciale et commença par dire que le monde est aujourd'hui occupé à résoudre le problème du changement climatique, et fait son possible à y réussir. Mais ce ne sont que de fausses prétentions. En fait, personne n'est prêt à faire descendre ses chiffres, surtout pas les pays riches qui prétendent vouloir diminuer leurs productions de gaz toxique à effet de serre. Les pays pauvres sont, par contre, noyés dans leur impuissance et ne peuvent contribuer aux décisions prises par les grandes puissances.

Stephan enchaina son idée en disant qu'il est nécessaire que les pays prennent certaines décisions, même si cela semble très difficile et presque infaisable. Les pays riches doivent alors de priver d'un peu de luxe. Ce luxe qui, dans les pays pauvres, signifie un bout de pain, une gorgée d'eau ou un humble refuge. Il déclara : « Prenons enfin des décisions et sauvons notre terre avant qu'il ne soit trop tard ! ».



Le Changement climatique entre les déceptions de Copenhague et les aspirations du Mexique

 Ensuite, M. Habib Maalouf pris la parole et  exposa en premier lieu les facteurs contribuant au phénomène du changement climatique qu'il considère être le résultat des diverses pratiques humaines. Il explique par la suite que les négociations interétatiques s'articulent autour de cinq idées principales : la vision commune, les moyens de financement, l'arrêt de pollution, ainsi que trouver des solutions efficaces et changer la technologie destructive en une technologie constructive et utile.

Il expliqua enfin les effets du changement climatique, signalant qu'ils ne sont pas pareils dans tous les pays. Il mentionna alors le danger qui menace la production agricole ainsi que les différentes sources d'eau. Il y ajouta les catastrophes naturelles, l'élévation du niveau des mers et des océans, les problèmes qui menacent les systèmes écologiques et la diversité biologique et les effets négatifs sur la santé de l'homme. Il conclu sa parole en déclarant qu'il est urgent que les nations trouvent des solutions rapides et passent enfin a l'action.